Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (16) : Gang Bang Et Rencontre Avec Marie

Avertissement : ce récit comprend des passages difficiles, qui peuvent choquer, mais je tiens à dire que ni moi, ni Philippe n’avons été contraints à rien.

Après cette semaine passée avec Jean, arrivait cette fameuse soirée dont Rachid comme lui m’avaient juste dit que je m’en souviendrais longtemps.
Jean m’avait précisé que la soirée se passerait dans leur maison de campagne, un ancien petit «château» acheté par Christine et Jean, un lieu qu’ils avaient rénové et équipé pour leurs orgies en toute discrétion.
Je savais que Philippe serait présent, et j’étais heureuse de retrouver mon mari qui m’avait tant manqué. Oui je sais, ça peut surprendre ceux qui sont choqués par notre mode de vie, mais c’est comme ça, nous nous aimons et nous ne pouvons vivre l’un sans l’autre.
Christine serait là aussi ainsi que Rachid. Je savais aussi qu’il y aurait d’autres invités, choisis et triés sur le volet par Jean, Rachid et Christine. Jean m’avait juste dit que « ce serait une nouvelle étape pour moi », que « Philippe ne serait pas déçu » et que Rachid espérait que « je ne le décevrais pas»
Je pensais que Jean aurait voulu que je m’habille très sexy, limite pute, comme je l’avais fait à la soirée à l’opéra. En fait il me demanda de m’habiller sobre. Je choisis un chemisier blanc. Mon habillement était complété par une jupe portefeuille fendue sur le côté, évasée, longue, qui arrive juste sous les genoux. Ma veste tailleur est fermée par deux boutons, cachant à peine un chemisier transparent sous lequel je porte un soutien-gorge de la même couleur. Je sais que je suis à la fois sobre et provocante.
Lorsque nous arrivons à la maison de campagne, nous descendons au sous-sol. Il s’agit d’une très grande pièce, éclairée par de nombreux chandeliers. Un peu partout de grands lits dont je peux imaginer l’usage. Je remarque aussi, au fond de la pièce une croix de Saint-André et des chaines. Il est évident qu’ici se déroulent des soirées très hard.


J’ai l’impression de me retrouver dans une soirée moyenâgeuse ou d’être une hétaïre qui va participer à une orgie de la Grèce antique ou de Rome. Cela m’effraie mais je dois admettre aussi que je suis excitée car je sais que je vais être la reine de cette soirée.
Mon entrée ne passe pas inaperçue. Jean enlève mon manteau. Un bref silence. Il y a là dix hommes, en plus de Philippe, Rachid et Jean. Christine est là également, ainsi qu’une magnifique blonde, aux seins opulents. Son regard me glaça. Je ne comprenais pas pourquoi, mais elle me haïssait. C’est elle que Jean me présente d’abord :
• Maitre Marie C. Elle est aussi chaude que toi ou Christine, mais c’est une dominatrice, une adepte du SM et qui adore nos soirées, compte tenu de nos équipements, fit Jean en faisant allusion à ce qui était au fond de la salle.
• Ainsi c’est toi, la fameuse Olga T dont parle toute la ville. Je suis là pour tes hommes et aussi pour m’occuper de toi. Je suis certaine que tu vas adorer ça, petite garce ! Et commence par baisser les yeux quand tu t’adresses à moi, ajouta-t-elle, en me giflant sans ménagement.
D’emblée, elle marquait sa domination, en m’embrassant dans le cou, mais en profita pour m’y laisser la trace de ses dents. Je comprenais que je ne sortirai pas de cette soirée sans marques et que je venais de croiser la route d’une personne qui ne me voulait pas de bien.
Jean et Rachid, les organisateurs de la soirée, me présentèrent aux autres invités. Ils avaient été triés sur le volet, parmi les habitués des soirées hard de Jean et Christine, sur leur réputation de baiseurs. Je ne pensais déjà plus qu’à l’idée que tous ces hommes étaient là pour moi et je sentais déjà la pointe de mes seins se durcir et ma chatte s’humidifier.
Parmi ces hommes, il y avait Olivier et Serge, les deux collègues de Philippe, que nous avions croisés lors de la soirée à l’opéra. Ils ne cachaient pas qu’ils étaient venus en éclaireurs car d’autres collègues voulaient sauter la femme de Philippe.
Il y avait aussi parmi les invités un grand Black, Ahmadou, un ami intime de Rachid. Les autres avaient été choisis sur leur réputation de baiseurs et leur assiduité aux parties fines de Jean et Christine.
La présentation faite, qui s’était accompagnée des commentaires peu ambigus de ces hommes, qui savaient pourquoi ils étaient là et ce qui allait se passer, avec le consentement de mon mari, qui voyait son candaulisme pousser jusqu’où il n’aurait pu l’imaginer.
Avant que la soirée ne commence, j’ai pu un instant être avec Philippe. Je me précipitais dans ses bras et nous échangeâmes un long et tendre baiser. Je savais que cette soirée ne serait pas celle de la tendresse et des préliminaires, mais des étreintes brutales. J’avais donc besoin de l’amour de mon mari.
• Oh mon chéri, tu m’as tellement manqué. Je ne peux pas vivre sans toi
• Je t’aime mon Olga, j’étais inquiet, tu sais.
• Il s’est bien comporté. Mais toi, j’ai appris qu’ils t’ont brutalisé
• J’ai eu mal, mais en même temps ça me prépare, je dois assumer cette envie d’être pris par un mâle. Je le ferai bientôt, mais devant toi. Je sais que tu aimeras ça comme j’aime te voir prise.
• Ce que je vais faire ce soir, je le fais pour mon plaisir, mais aussi par amour pour toi. Je sais que tu vas adorer ça. Jamais je n’ai été possédée par autant d’hommes en même temps.
• Je t’aime Olga, merci mon amour.
C’est Marie C qui nous sépara :
• Bon ça suffit ces simagrées. Tout le monde sait que tu es ici pour le plaisir des invités. Ne perdons pas de temps.
Jean rappela les règles de la soirée. Lui-même, Rachid et Philippe n’étaient pas autorisés à me toucher. Ils ne pourraient participer qu’à la fin où m’était déjà promise une douche de sperme.
Striptease
Jean s’installa avec Christine sur un canapé. Ils étaient autant décidé à mater qu’à copuler, séparés l’un de l’autre depuis plus d’une semaine. De son côté, Marie C s’installa entre Philippe et Rachid, ne cachant pas d’emblée ses intentions : me prendre mon mari et mon amant.

Un des invités s’approcha et en riant, enleva ma veste de tailleur.
Je me penche, secouant mes épaules, mon chemisier baille laissant voir mon soutien-gorge. Les hommes peuvent mater mes seins, à peine cachés. J’ai commencé un striptease et je sais, je connais l’effet sexe que je diffuse. Je m’exhibe. J’ai toujours aimé ça et l’effet que cela fait aux hommes.
Ma jupe flotte au gré de mes mouvements. Par moments, elle s’ouvre sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une cuisse nue jusqu’au niveau de la culotte. J’att le bas de la jupe et la fait voler, découvrant volontairement cette fois mes cuisses au regard de l’assistance.
Les hommes se lèvent, m’entourent. Je ris, heureuse. Les hommes, de voyeurs, deviennent des peloteurs. Jean et Christine sont déjà nus et Christine pompe son homme. Quant à Marie C, elle me couvre d’injures et, en même temps, elle a ouvert les braguettes de mon mari et de mon amant et commence à les masturber.
Je relève la jupe pour l’accrocher à ma ceinture et découvrir mes fesses. Puis je défais un bouton de mon chemisier. Je tourne sur moi-même, la jupe dévoile mes jambes et ma culotte blanche soulevant des cris de joie dans l’assemblée.
On me pousse à aller plus loin. Un homme défait en riant l’autre bouton de mon chemisier. Je le laisse faire. Il s’ouvre jusqu’à la ceinture, dévoilant mon ventre. J’ondule des hanches et du ventre dans des mouvements de plus en plus sexy. L’homme s’enhardit, me passe une main à la taille et m’attire à lui. Je sens son désir. Je dégage le chemisier de ma jupe et l’ouvre complètement. Il vole, me laissant pratiquement en soutien-gorge.
Olivier, l’un des eux collègues de mon mari, s’avance vers moi et, en un clin d’œil, enlève le chemisier. Mon soutien-gorge est pigeonnant, donnant un relief de rêve à mes seins qui ballottent. Par moment, une bretelle tombe, dévoilant le côté d’un sein. Je laisse les deux bretelles tomber de mes épaules. Mes épaules nues donnent une vision encore plus sexy de mon corps.
Le soutien-gorge descendu est à la limite des aréoles de mes seins.
Olivier a sorti sa queue et lentement il se caresse, les yeux braqués sur moi. Il interpelle Philippe :
• On va baiser ta femme, T !
• Mon Dieu, qu’elle est belle ! Donnez-lui le maximum de plaisir !
Je l’ai vu. Très lentement, je me rapproche de lui, regardant son sexe long mais encore tout mou.
Philippe n’en perd pas une miette. Il ne se laisse pas troubler par Marie, qui s’est mise nue et qui prend sa verge en bouche. Il réalise un de ses fantasmes. Sa femme s’exhibe sans retenue à des hommes qu’elle ne connaît pas. Il sait que je suis prête à aller au bout.
Soudain, je dégrafe ma jupe et l’a fait voler. Je suis en slip et soutien-gorge. Je roule des hanches, puis la taille pour enfin faire ballotter mes seins, les bras tendus vers l’avant. Je m’approche d’Olivier et tendrement je lui prends sa bite et la branle doucement. Deux autres hommes s’approchent, un dégrafe le soutien-gorge, libérant les seins qui étaient déjà pratiquement nus. Par derrière il les caresse et les malaxe sans douceur. Il est excité le bougre. Le second s’est emparé du slip et l’a fait descendre à mi-cuisse. A son tour il caresse mes fesses. Sans un mot, il dégage le petit bout de tissu et je lève mes pieds en signe d’accord. Je suis maintenant à poil. Jean donne le signal, je suis impatiente.
• Messieurs, elle est à vous, pour le temps que vous voulez. Elle a trois trous et de multiples façons de vous faire jouir
Gang bang
De nombreuses mains prennent alors possession de mon corps offert, aucune partie ne fut oubliée par les caresses. Leurs caresses étaient aussi douces que possible, c’était une sensation extraordinaire que d’être caressée par une vingtaine de mains, sur mes seins, mes fesses. Les doigts fouillaient mon anus et ma chatte. Je demandais à être prise.
Olivier s’allongea sur moi, me pénétra tout aussi rapidement et commença ses mouvements de va et vient. D’autres le voyant faire, commencèrent à se mettre nu également. Un premier sexe s’approcha de ma bouche. Je happais le membre à ma portée.
Des mains bien intentionnées m’obligèrent rapidement à me mettre à quatre pattes, et le ballet des mains baladeuses reprit de plus belle. Un cercle se forma autour du lit, avec autant de sexes tendus que de participants, n’attendant plus que ma langue et ma bouche pour venir les caresser. Je voletais de l’un à l’autre au gré de mon humeur. Le premier à se libérer maintint fortement ma tête, jusqu’à que la source ne soit tarie. J’avalais la précieuse semence qui inondait ma gorge. L’un après l’autre se délivrèrent. Le sperme coulait de mes lèvres, mes amants ne tarissaient pas d’loge sur mes qualités de fellatrice.
L’un des hommes se coucha sur le dos et me fit m’allonger sur lui, il me bloqua aux épaules et me pénétra virilement. Pendant qu’il s’activait, un autre s’intéressa à mes fesses et y introduit alors un doigt. Le propriétaire du doigt inquisiteur approcha sa virilité des fesses offertes. Il me pénétra brutalement. Une fois son affaire faite, il se retira pleinement satisfait. Un autre, stimulé par la facilité à laquelle je m’étais prêtée à ce « sandwich », prit rapidement la place et se libéra rapidement. Ils furent encore 2 ou 3 à choisir cette voie étroite.
Serge s’approche à son tour de moi. Il était fasciné par ce qu’il a vu jusqu’à présent.
J’ai l’impression de planer, ma tête se pose sur son épaule et ses paroles me transportent vers mon plaisir.
• tu aimes les mecs, tu vas en avoir ; je te promets qu’après ta chatte va te bruler
Il ne perd pas de temps et ouvrant sa braguette, il sort son sexe tendu et me prenant par les cheveux, il me le fourre dans la bouche ; cette domination m’excite et sachant que Philippe n’en perd pas une miette, je le suce avec vigueur, j’espère le faire venir, mais il se retire. Il me plante sur sa verge, me besognant avec méthode, et je ne tarde pas à jouir, jouissance qui redouble quand je sens sa jute me remplir le ventre. Il a voulu ensuite que je lui nettoie le sexe ;
Olivier me penche en avant, m’appuie les mains sur le mur, il se fiche en moi et violement me baise à nouveau, me traitant de salope, de trainée ; au lieu de me vexer, ses paroles me stimulent et je donne de grands coups de derrière pour que son gland vienne taper sur mon point sensible.
Je pense à Philippe et de savoir que je suis sa petite pute me déchaine.
• baise moi, enfonce toi, je veux sentir ta jute. Ouiiiiiiiiiiiii
Il ne tarde pas à jouir et à nouveau, le sperme déborde et s’écoule le long de sa queue et sur mes cuisses.
Tout au long de la soirée, les hommes se sont remplacés pour me baiser, sans tenir compte de moi ; j’étais leur possession.
Je me suis même retrouvée aux prises avec cinq hommes en même temps, l’un dans ma chatte, l’autre m’enculant et le troisième se faisant tailler une pipe, pendant que j’en masturbais deux autres. Les hommes se succédaient dans mes trous et j’en redemandais encore et encore. Ils étaient dix, mais je me rendais compte que j’étais capable d’en satisfaire bien davantage.
Alors que j’étais allongée sur André, un ami de Jean et Christine, la queue, bien au fond de ma chatte, Jean, oubliant ses consignes, n’y tenant plus, est venu me lécher le sillon et sa pointe de langue a stimulé mon anneau. Une décharge électrique me parcourt et, sentant le gland près à me prendre, je m’empale sur sa bite. Mon anneau s’ouvre bien vite, et il m’encule sans ménagement et déverse sa semence dans mes entrailles, changeant de position, c’est maintenant André qui m’encule ; je ne sais plus où je suis, je ne suis plus que jouissance.
De son côté, Marie n’est pas parvenue à ses fins avec Philippe, qui ne s’intéresse qu’au spectacle que je lui offre et à mon plaisir. Furieuse, elle s’offre aux grands coups de reins de Rachid. Son visage exprime la jouissance qu’elle ressent mais son regard est lourd de menaces pour moi.
Pour le moment, je n’en préoccupe pas. C’est au tour d’Ahmadou, l’ami black de Rachid, de s’occuper de moi. J’introduits son monstre dans ma bouche entièrement et le branle avec mes lèvres. Il prend la tête devant lui et l’attire pour s’y introduire profondément. Quand il la sent plantée au fond de ma gorge, il la maintient ainsi jusqu’à ce que je le repousse, au bord de l’. Il me laisse le temps de reprendre mon souffle et d’autorité il plante son dard encore plus au fond de la gorge, ses couilles plaquées sur mon visage. Soudain il se cambre, ferme les yeux et dans un rugissement il déverse sa semence dans ma gorge violée. Il maintient ma tête quelques secondes contre son ventre m’obligeant à avaler tout son jus jusqu’à la derrière goutte.
Je reprends mon souffle, sur mes lèvres des gouttes de sperme s’échappent mais on devine que je n’ai pas laissé s’échapper une goutte du précieux liquide. J’adore le goût du sperme et j’en n’avais jamais avalé autant qu’avant cette soirée.
Ahmadou reprend vite des forces. Il s’est approché de moi par derrière, me relève et me fait me baisser et me cambrer pour lui offrir sa croupe. Il m’écarte les fesses, porte son majeur à sa bouche pour le lubrifier de salive et brutalement il l’introduit dans le petit trou noir devant lui.
Cela me fait soudain peur. Ahmadou n’en a cure et il se met rapidement à me doigter le cul de plus en plus vite. Petit à petit, je me relâche, j’halète. Je pousse un cri quand je sens sa queue dans ma chatte toute ruisselante de sécrétions.
• Oh oui, mon chéri, enfonce ton pieu noir dans mon vagin. Je veux te sentir jusqu’à ma matrice.
Deux ou trois allers et retours et Ahmadou se vide dans mon ventre.
Marie interpelle les hommes :
• Cette salope est capable de prendre deux queues d'étalon dans le cul en même temps tellement elle est dilatée, ne vous gênez pas !
Ma bouche étant fourrée par les queues qui l'envahissent, je ne dis rien et les hommes prennent donc ça pour un oui. Olivier me plaque contre lui et ses mains m'écarte les fesses afin que d'autres puissent venir, je sens une autre queue me pénétrer d'un coup sec et je m'étonne d'en éprouver autant de plaisir, ces deux chibres vont et viennent et me fouillent profondément. Ce pervers invite un troisième lascar à entrer.
Je ne sais pas comment ils s'y sont pris mais ils sont parvenus à trouver la position adéquate et une troisième queue s'est infiltrée dans mon trou. La douleur que j'ai ressentie lors de cette troisième pénétration s'est vite transformée en jouissance, ma bouche s'acharne à sucer tout ce qui passe et le sperme commence à fuser. J'avale tout avec gourmandise, certains se sont vidés sur mon visage et je sens le foutre dégouliner de partout. Mes trois étalons ne tardent pas à me remplir le ventre de leur liquide chaud, ils se retirent et une grosse giclée de sperme me coule le long des fesses. J'imagine l'état de mon trou béant!
D'autres ne tardent pas à le remplir de nouveau, Ahmadou me défonce à nouveau la chatte, nous sommes debout et être prise en sandwich de cette manière me plait beaucoup. Ahmadou me soulève afin de faciliter la pénétration des autres. J'embrasse goulument mon magnifique étalon, nos langues se croisent et fouillent nos bouches profondément pendant que les autres m’enculent. De nouveau je suis un bac à foutre et j'aime ça. Après m'avoir pilonnée plusieurs minutes et provoqué chez moi des orgasmes dévastateurs, mon black me lâche une dose de liqueur phénoménale dans le vagin.
Il reste en moi en attendant que ma double sodomie se termine ce qui ne tarde pas. Ils me libèrent de leur étreinte et me demande de recueillir le foutre qui s'écoule de mes trous et de l'avaler. Je m'accroupis et mes mains récoltent la sève qui s'échappe de mes orifices, je porte mes mains bien remplies à ma bouche et je lèche celles-ci très lentement afin de profiter de la moindre molécule de foutre, tous ces hommes me regardent faire, certains se vident sur mes seins, d'autres m'envoient leur jet dans la bouche. J'en ai tellement que j'ai du mal à avaler mais j'adore être bien remplie et l'odeur du sperme me rend folle.
Je décide de me mettre à 4 pattes et de nettoyer toutes ces épées avec mon fourreau bien chaud, ceux qui le désirent me pénètrent de plus belle pendant que ma bouche fait son travail.
Puis je m'allonge sur le dos, j’écarte impudiquement les cuisses et me caresse le clitoris. Ma chatte et mon anus sont béants, ma cyprine est mélangée à tout le sperme qui s’est déversé dans mes deux trous.
Les hommes font alors cercle autour de moi et se masturbent. Jean, Philippe et Rachid ont rejoint les invités. Je me caresse de plus belle et des jets de sperme commencent à pleuvoir sur mon corps, mon visage, mes seins, mon sexe. J’ai un nouvel orgasme et je suis secouée de soubresauts. Je suis trempée, je viens de recevoir une douche de sperme. J’adore ce mélange de sperme qui me souille, me salit et en même temps me procure un plaisir immense.
Jamais je n’étais allée aussi loin mais j’en veux encore. Je donne la main à Philippe, échangeant avec lui un regard de complicité et d’amour.
Dégoulinante de sperme, je sais que je vais encore être prise à la chaine. C’est autour de Rachid.
• Je n’aurais jamais imaginé cela. Je n’aurais plus de limites avec toi, petite putain bourgeoise. Je ferai de toi un vide-couilles, je te ferai faire de l’abattage.
• Tout ce que tu veux mon mâle. Viens baiser ta putain, ta queue m’a manqué !
Rachid me pénètre sans ménagement et me pilonne, chaque coup de queue est un coup de buttoir de son ventre contre ma croupe de femelle en chaleur, il éjacule rapidement au fond de moi et un autre male prends aussitôt sa place, me besogne à son tour, je l’entends cracher et je sens son jet de salive sur la raie de mes fesses, puis son pieu sort de ma chatte pour se positionner sur mon petit œillet, je le sens forcer sur mon anus, qui, lubrifié par la salive permet mon enculage assez facilement. Je tortille mon derrière qui est prisonnier d’une queue qui me fait gémir, du sperme s’écoule entre mes cuisses. Les autres hommes attendent leur tour. Ce soir-là, je me suis comportée comme une chienne, mais je n’ai ressenti aucune honte.
Les sévices de Marie
Le gang bang durait depuis des heures et mes amants comme moi nous étions épuisés. Je pensais que la soirée se terminait, quand je vis Marie s’approcher de moi. Elle fit signe à deux hommes de me saisir et ils m’attachèrent à ce chevalet en croix situé au fonds de la pièce.
• Je vais punir cette truie comme elle le mérite !
Philippe tenta de s’interposer, mais fut rapidement maîtrisé et ligoté par Rachid.
Je ne voulais pas qu’il soit brutalisé.
• Laisse chéri, j’ai envie d’essayer, ça me fait peur et en même temps ça m’excite.
• De toute façon, fit remarquer Rachid, ça fait partie des jeux que vous pratiquez depuis longtemps. Je suis certain, cocu, que ça va te faire bander quand ta pute va se faire corriger.
Ce fut Rachid qui commença, encouragé par Marie à frapper fort. Le fouet s’abattit sur moi et je sentis des brûlures intolérables mais j’avais décidé de ne rien laisser paraître et je me mordais les lèvres pour ne pas crier. Pas question d’offrir ce plaisir à Marie, qui l’encourage à frapper plus fort! Un coup se perdit sur mes seins, un visa mon sexe et une douleur fulgurante me traversa ; le fouet avait touché mon clitoris et malgré moi, je hurlais.
Puis ce fut au tour de Jean. S'armant d'un martinet à sept lanières en cuir, il commence à corriger mes fesses, appuyant à peine pour les premiers coups. Cela ne m’a pas fait vraiment mal. Progressivement les coups deviennent plus douloureux. Aussi j’essaie de ne plus penser à la douleur insinuante qui envahit son corps martyrisé.
Marie prend à son tour une cravache de jockey, fustigeant par quelques coups anodins la croupe déjà rougie par la flagellation du martinet, qu'elle cingle ensuite régulièrement, pour finir par une bastonnée violente qui m’empêche presque de respirer, tellement la douleur est effroyable. Puis, sadiquement, Marie m’enfonce d'un seul coup le manche de sa cravache dans l'orifice de mon rectum, m’arrachant un hurlement effroyable.
• Oooooooooooh..........! Mon Dieu ! Tu m'as transpercée. Oh ! J'ai mal. Retire-la je t'en supplie. Oh ! Non arrête, tu me fais trop mal. Ahhhhrrrrrrrrrrr......
• C’est ça, fais ta mijaurée ! C’est un cheval qu’il faudrait pour bien te remplir !
Marie agite dans tous les sens le pommeau en cuivre de la cravache dans mon pauvre derrière dévasté, puis, le retirant d'un trait, elle s’arme d'une chambrière avec une longue mèche au bout, qui vient frapper ma vulve et brûle mes muqueuses devenues si sensibles. Mes fesses deviennent vite rouges, laissant perler parfois des zébrures. Je laisse éclater des sanglots. De temps en temps, le fouet vient s'enrouler dans ma raie culière, la mèche cinglante venant meurtrir le vagin trop exposé. Je ne peux m’empêcher de laisser de sourdes plaintes s'échapper de ma gorge lorsque les lanières s'enroulent dans mon entrecuisse, surtout quand les mèches cinglent méchamment mon clitoris et les chairs entrouvertes de ma vulve. J’ai une furieuse envie de crier, mais je ne lui offrirai pas ce plaisir. Je me retiens, des larmes coulant seulement à grosses gouttes sur mon visage.
Je suis heureuse de pouvoir résister à la douleur affreuse que m’administre cette garce. Soudain, je sens que mon vagin laisse s'écouler une mouille abondante et une volupté intense s'empare de moi. Je retiens car j’ai peur que ma tortionnaire ne sache plus s'arrêter.
Mais cela n’a pas échappé à Marie. Sa main, avec ses ongles pointus, s’enfoncent dans ma chatte :
• C’est incroyable, cette salope est trempée. Elle aime ça, elle prend son pied !
• Oui j’aime ça ! Vas-y, ne te gêne pas.
Rachid, qui a dégainé une imposante verge de son pantalon, tout en se branlant, regarde avec des yeux exorbités le spectacle. Jean lui propose de m’enculer. Sans plus hésiter, Rachid me détache, s'approche de mes fesses sanguinolentes et, écartant les globes d'une main, il pointe son phallus sur la pastille brune, perçant l'œillet sans coup férir et s'enfonçant au plus profond du cul, me réveillant brutalement, surprise par l'intromission féroce de cette pine énorme dans mon postérieur. À ce moment, Jean me présente sa verge à sucer, je la prends instinctivement, la pompant avec beaucoup d'ardeur. Marie se munit d’un énorme gode-ceinture, celui qui avait servi à Christine pour sodomiser Philippe, et me prend sans ménagement. Elle me dit à l’oreille
• Je vais désormais conseiller Rachid pour ton éducation, petite catin. Je te le prendrai comme je prendrai ton mari. Et toi tu vas souffrir.
Je sais que désormais je serai encore prise par tous mes orifices de nombreuses fois, mais qu'importe, je vais jouir, jouir, jouir. Il n'y a plus que cela qui compte désormais dans ma vie. Mais je suis convaincue que cette mégère ne parviendra pas à me prendre mon mari. Elle en profite pour labourer au sang mes épaules avec ses ongles.
Lorsque les deux hommes ont déchargé leur foutre dans ma croupe et dans ma gorge et qu'ils se retirent assouvis, Christine, avec l'aide de Philippe, me conduisit à sa chambre et m’étendit sur le lit. Puis, elle appliqua sur mes plaies des crèmes adoucissantes et cicatrisantes. Elle passe ensuite entre mes cuisses une éponge et un linge pour nettoyer ma vulve imbibée de foutre et de mouille.
Philippe était près de moi, tendre, me caressant doucement et m’embrassant. Il n’était nullement rebuté par le fait que j’étais couverte de sperme et que je dégageais une odeur de stupre.
• Tu as aimé cette soirée, mon Philippe ? Ça t’a plu de voir jusqu’où je pouvais aller ?
• J’ai adoré. J’ai eu peur à la fin. Cette Marie me fait peur, elle te hait.
• Tu sais chéri, même cette séance, qui était douloureuse, m’a fait jouir.
• Tout cela va trop loin il faut que nous arrêtions.
• Tu as voulu cela Philippe et moi je veux continuer. Je veux seulement que tu sois toujours à tes côtés. Que tu ne manques rien de mon plaisir, car je sais que tu adores ça. Et que je puisse toujours compter sur ton amour.
J’ai regagné notre domicile avec Philippe et Rachid. Philippe m’a soigneusement lavé, comme un bébé, sous la douche. Je me suis endormie entre Rachid et Philippe. J’étais tendrement dans ses bras quand le matin je fus réveillée par la première saillie de Rachid, qui ne se souciait guère de ménager mes pauvres orifices, mis à rude épreuve la veille.
Mon éducation allait continuer, mais serait certainement durcie, compte tenu de l’influence qu’avait désormais Marie C sur Rachid, encourageant les tendances dominatrices de celui-ci.
(A suivre)

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